Peinture à l’huile sur toile de lin.
Le spectacle de la Nature fait souvent écho à ce qui se passe chez Clotilde de la PRESLE. L'artiste n'a jamais cherché à représenter la Nature ou à l'imiter.
C'est par l'exercice de la contemplation qu'elle a compris ce qu’elle voulait peindre : le calme de l'eau, le reflet jauni sur une feuille, une touche rose de fleurs, la clarté de la lumière. Progressivement, l'artiste a voulu saisir le vent, représenter le vide et inventer de nouveaux espaces. La Nature lui a aussi appris à ne plus préférer une couleur à une autre, car toutes se valent.
Clotilde de la PRESLE aspire à peindre l'émergence de la vie, les soubresauts de la matière en gestation et le dialogue de l'eau avec les fleurs.
Elle aime le mouvement comme en témoignent ses « paysages en mouvement des bords de la Loire » peints à partir de photos faites du TGV.
Et Paris, sa ville, dont elle bat le pavé et qui l’inspire : peindre la couleur de la pierre et cette atmosphère unique qui émane des rues et des quais de Seine.
Ses ventes aux Etats-Unis et en Allemagne, par les sites de vente en ligne, lui ont donné envie de montrer sa belle France et la richesse de ses paysages.
Elle admire les peintres impressionnistes. Pour commencer, les précurseurs comme Cézanne et Manet et puis les têtes de pont du mouvement comme Monet, Bonnard ou Marquet.
Car Clotilde est résolument tournée vers l’avenir, la recherche picturale et l’art contemporain. Surtout la peinture américaine post-impressionniste.
Elle se veut moderne et fréquente les galeries d’art à Paris dans le quartier Saint-germain des près et le marais.Elle est une assidue des foires d’arts contemporain comme Art Paris ou la FIAC.